Gu Bo Hye - We are ghosts.

Hi, I'm Gu Bo Hye ♦

Annyeong ! Je m'appelle Gu Bo Hye et il paraît que je ressemble très fortement à Krystal de f(x). Je suis née le 6 Janvier 1994 à New York, ce qui me fait donc 19 ans. Il semblerait que je sois sur cette île depuis quelques jours et que je fasse partie des Daleun. Ma vie privée ? Même si ça ne vous regarde pas je suis célibataire et j'ai un penchant pour les hommes ! Ah et oui... Avant de venir sur l'île j'étais étudiante.

I think I'm mad

▬ Autoritaire, oui. Car je tiens à certaines choses dans un certain ordre et d'une certaine façon. J'ai réglé ma vie à prise de pilules, surveillance de pouls et autres examens. Maintenant je veux la contrôler autrement. Je ne laisse pas les gens m'imposer quoi que ce soit. Mais s'ils le font dans une situation particulière, j'aime que ce soit fait de façon nette et précise.
▬ Je suis d'allure calme et posée. Même sage. On me voit un peu comme une maman, toujours à faire des leçons de morale. Mettez-moi une bible dans les mains et je me sentirais pousser des ailes, ou plutôt une vocation de bonne sœur naîtrait en moi. Bon, non peut-être pas. Ou juste sur le coup mais ça, ça ne rentre pas dans ma zone de sûreté.
▬ Sinon, comme une petite grand-mère, j'ai mes petites habitudes qui entretiennent ma vie: mon thé à l'Earl Grey, mes pains au chocolat, les petits bonbons, la malbouffe. ENFIN, je peux mal me nourrir !
Et j'adore ça. Tant que ce sont les premières choses que j'ai appris à cuisiner.
▬ A tout moment, je peux devenir dangereuse. Une bombe à retardement. Ou au pire, je dors. Mais ce n'est pas conseillé.
En fait, j'ai l'air tout sauf dangereuse, justement dans ces moments-là. Mon rythme est très lent. Je deviens très lente. Je ne réagis pas.
On me fait une réflexion taquine sur ce que j'ai dit, je me répète ou m'enfonce. Et je deviens bavarde, très bavarde. A croire que c'est la seule chose que je sais faire dans cet état.
En fait, à bien y réfléchir, on dirait une droguée. Pas que je sache ce que c'est de prendre de la drogue mais les médicaments en sont.
▬ Je suis peut-être lente mais je m'impatiente très vite. Surtout quand on ne me comprend pas. Ça me fatigue, m'épuise comme si j'étais justement dans l'état lent.
Mais le vrai problème, ce n'est pas ma patience limitée. C'est ma tendance à céder à la panique. J'ai tendance à dramatiser, pour moi, pour les autres et pour la planète entière.
En fait, la frontière est très mince. Après tout, mon cœur est tout neuf et donc très rapide. Mes humeurs seront dures à suivre.
▬ Je m'emballe vite. Quand quelque-chose ne me plaît pas ou me séduit, je pars au quart de tour et même si je ne me jette pas forcément à l'eau par souci de réflexion, je m'impatiente. Je dois avoir l'air d'une folle. Mais encore, ça, ça me rend drôle. Ce que j'assume moins, c'est la gêne. Et je l'ai plutôt facile. Quand je fais une gaffe, je panique vite, quand j'ai un entretien, je panique.
Parfois, ça m'agace vraiment. Surtout que le docteur n'aime pas ça. Il y a des gens du coup à proscrire.
A y regarder de plus près, on dirait que je fais tout dans l'excès maintenant que je m'estime "normale".
Et c'est peut-être ça qui me rend le moins normale.

Why am i here ?

▬ J'ai laissé mon cœur à New York.
Voilà ce que je me suis dit pendant des années. J'ai eu la chance de naître en Amérique. Ma mère venait de s'y installer pour rejoindre mon père.
J'aurais pu naître en Corée du Sud. Mais mes premiers mots furent américains. Mes premiers pas se firent sur le sol américain. Mes premiers souvenirs sont américains. Mes références sont américaines. Toutes mes bases se trouvent dans ce pays et mon cœur y battait encore sans un seul raté.
Puis mes parents se sont séparés.
Je les aimais beaucoup, le monde m'appartenait grâce à eux.
Alors quand le sol qu'ils représentaient s'écarta, ce monde s'engouffra dans le fossé qui se forma. Et moi-même j'y tombais. J'avais 4 ans. Je n'ai rien compris mais j'ai tout bien ressenti. La douleur, la peine, ce sentiment de ne rien comprendre tellement que la chute est brutale et interminable.
J'aurais dû être heureuse, tout le monde le disait.
Ma mère voulait obtenir ma garde, et elle allait l'obtenir.
Elle rêvait de retourner en Corée du Sud et mon père, réclamant un droit de visite comptait rester en Amérique. Cette divergence d'opinion les déchira, et moi, c'est mon cœur qui se déchirait.
Deux mois plus tard, ma santé trancha mieux que n'importe quel tribunal sur la question: j'allais devoir rester à l'hôpital un bon moment.
J'avais enchaîné les malaises et mon état devenait inquiétant. Il a fallut des mois pour identifier une malformation au cœur qui fit pâlir mon père et démonta ma mère. Cette malformation déréglait l'apport d'air dans mon sang ainsi qu'un bon nombre d'autres choses. Les battements de mon muscle devenaient irréguliers dû au manque d'oxygène, cela pompait parfois plus et la fatigue venait.
Jeune comme je l'étais, ce n'était rien. Mais bientôt, cela allait devenir gênant voir risqué.
En tout, je suis restée trois ans dans cet hôpital. J'ai eu le temps de voir mon père y entrer et ne jamais le voir sortir sur ses deux pieds.
C'est ironique car les absences qu'il avait, les mêmes qui justifièrent en partie le divorce, c'étaient celles dues à la même maladie que j'avais. Et il avait finit par en mourir.
D'autant plus ironique que la maladie avait finit par rapprocher mes parents, à nouveau.
Il n'en fut pas pareil pour moi. La maladie nous sépara, ma mère et moi. Très vite après ça, elle détesta l'hôpital. Ce même si j'y étais.
C'est mon demi-frère qui vint alors toutes les autres fois après une ou deux visites suivant la mort de mon père. Cette absence me rendit malheureuse un moment. Un très long moment.
Puis, les enfants ont cette faculté de se faire à toute nouvelle situation. Alors oui, je me suis tout bêtement habituée à son absence. Je ne posais plus de questions. A la fin, ça ne faisait plus si mal.
Je suppose que le muscle enfermé dans mon cœur, dans un dernier effort emporta ces sentiments avec lui. Et les médicaments les lavèrent. Non, ni la peine, ni la maladie ne faisait plus mal.
L'ironie doit bercer ma vie car après cette étape, quelque-chose changea. Mon état s'était amélioré, bien que toujours instable.
Ce grâce à une opération qui aurait dû m'aider à mieux tenir sans don d'organe. Je sortais de l'hôpital enfin, bien que les visites continuaient évidemment. Je profitais d'une vie de jeune fille et allais à l'école. J'avais même réussi à me faire des amis.
Alors quand elle annonça notre départ en Corée, même ma maladie devint un prétexte.
Sauf que pour elle, l'hôpital et les mauvaises santés n'avaient plus le droit d'exister. Je n'étais tolérée que si j'avais une bonne santé. En fait, ma mère n'en laissa le choix à personne.
▬ J'ai vraiment laissé mon cœur à New York... Mais je suppose qu'elle aussi.
Je détestais la Corée du Sud.
Heureusement pour moi, ma mère me parlait régulièrement coréen depuis petite, sinon je n'aurais jamais pu m'intégrer. Car au fond, je n’en n’avais aucune envie.

« On t'a trouvé un donneur ! »

Un miracle ? Peut-être bien, j’allais revoir New York et avoir un nouveau cœur.
C'était une chose de remplir ce sac, c'était presque thérapeutique de voir qu'on avait quand même des choses à emporter. Ça l'était moins de se rendre compte au bout de cinq minutes qu'on ne pouvait plus le porter. C'était une chose que cela ait rendu ma mère heureuse de savoir que je serais enfin normale. C'en était une autre de savoir qu'elle allait simplement attendre mon retour, car incapable de fouler le sol de l'hôpital.
Soi-disant qu'elle y croyait. Elle avait peur que j'y passe aussi, comme lui.
Je n'avais pas le droit de lui en vouloir. Mais qui avait le droit de me juger pour ça ?
Le temps passa. Ce qui devait durer quelques mois prit deux ans. Je révisais mes cours à l'hôpital, j’avais mes "amis" à l'hôpital, mon premier "crush" à l'hôpital.
Mon chirurgien. Ca, si ce n'était pas une blague, qu'est-ce que c'était ?! Rassurez-vous, j'ai tellement eu peur de l'opération qu'il tenait tant à faire que j'ai fini par le voir très vilain.
Je suis un peu soignée...
Quand je suis enfin sortie, j'avais 19 ans. On ne se rend jamais compte du passage des 18 ans, de l'après lycée. Effacez votre mémoire entre 17 et 19 ans et vous vous rendrez compte combien votre vie bascule. Je n'allais plus voir mon lycée, j'allais entrer directement à l'université après avoir passé un diplôme en candidature libre. Je n'avais même pas réfléchit à quelles études je voulais faire. Mes amis du lycée s'étaient envolés un par un, à quelques exceptions près. J'étais une jeune femme, j'en avais le physique. J'avais aussi plein de choses à fournir maintenant...
Pour fêter l’arrivée de mon nouveau cœur, ma mère m’offrit un voyage à Pékin.
J’avoue que j’aurai préféré rester à New York, avant de retourner en Corée du Sud.
En tout, ce voyage me donna le tournis. Dans les deux sens du terme. Finalement, je n’ai pas pu atteindre Pékin.
▬ J'ai laissé mes deux cœurs à New York.
C’était bien trop beau pour être vrai. J’étais là, sur une île perdue avec des personnes que je ne connais pas.
Sur le moment, j’ai cru retrouver mon ancien cœur. En panique pendant un long moment, je pensais rêver.
Rester seule ? Hors de question. Je ne connaissais rien de cette vie sauvage. Je voulais être autonome mais je savais, au fond de moi, que c’était impossible.
Avoir un nouveau cœur, ce n'est pas avoir une nouvelle compréhension des choses. Sur le coup, j’espère juste retrouver ce que j’ai laissé avant ce voyage.

Behind the computer

Vous savez tous !
Je suis celle qui brille, qui lance des étoiles et qui danse comme une reine.
*Jette ses cheveux*.

Code:: [color=#CF0B1E]▲[/color] <f6>jung soo jung [f(x)]</f6> ▬ [url=http://whereami.forumactif.com/u88]Gu Bo Hye[/url]

Nan mais non, pourquoi tu as fini ta fiche aussi vite hein ? é_è
Bah moi je valide pas ce soir parce que j'ai bobo crâne alors je vais dans mon liiiit /bim/

La magie de Word~
No problem, dors bien !

F(XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX)
*meurt*
Hee je t'aime de jour en jour! T'as peut être pris celle que j'aime le moins ( mais celle que j'aime le plus est prise) mais ça ne veut pas dire que je ne l'aime pas et je suis trop contente de voir une F(x) sur le foooooooooo! **
Rebienvenue à toi **

Je t'aime aussi, owi !
CHO MON CHOCOLAT ! ♥

Re-bienvenue !! =)

Merci beaucoup ! ♥

Re-bienvenue jeteuse de cheveux **
Bonne chance pour cette fichouille déjà finie ♥ Rapide en plus Oo
Et have fun sur ce personnage ♥♥

Merci Luciole ! ♥

ϟ *ADMIN* **PERVERS**

Hellooooo o/

Alors alors, j'ai lu ta fiche et il y a plusieurs choses à changer avant d'être validée :P Premièrement, le vol qui s'est crashé sur l'île faisait le voyage entre new york et pékin ! Ensuite de cela, dans ta fiche tu ne décris ni le crash, ni son arrivée sur l'île. Il faudrait donc que tu nous décrives tout ça en quelques lignes histoire que nous puissions avoir plus de détails sur son début "d'adaptation" sur l'île !

Si tu as des questions, n'hésites pas à m'envoyer un mp ♥

Je pense que c'est mieux, maintenant ? ♥

Re-bienvenue **
Amuses-toi bien ~

ϟ *ADMIN* **PERVERS**

Maintenant c'est perfect

Bravo, tu es validé (e) !

Bravo, te voilà intégré au groupe des Daleun ! Pfiuuu enfin fini pas vrai ? ET BAH NOOOON mouhahahahaha ! Maintenant comme tu es un membre très sage, nous te conseillons - ou plutôt d'obligeons :P - à aller te créer une fiche de liens pour te faire plein de potos parce que c'est plus cool d'avoir des n'amis. Et comme nous avons gardé le meilleur pour la fin, tu peux dès à présent rpotter dans les endroits prévus pour ou encore flooder dans la partie Hors-jeu du forum si tu ne veux pas tout de suite bosser Gu Bo Hye - We are ghosts. 3651832253

Comme tu as pu le voir, le forum vient tout juste d'annoncer plein de nouveautés ! Par conséquent, tu peux aller donner ton avis dans la partie prévue pour Gu Bo Hye - We are ghosts. 3651832253

La chatbox est également ouverte si tu veux aller papoter avec les membres du forum ~ Bon séjour sur l'île !

Yah, merci beaucoup ! ♥

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