Tant de temps à le chercher, à partir du moment où j'ai ouvert les yeux et constaté qu'il n'était pas à mes coté je me suis mit en tête de le retrouver; Morgan est comme une partie de moi, il fait parti de moi et c'est pour ça qu'il est essentiel que je le retrouve .J'ai peur qu'il soit blesser, ou pire retenue quelque part ! Je me mord la lèvre et me remet debout, je passe rapidement mes mains sur mon corps, pour me rassurer, oui je n'ai rien et tout y est. Après avoir regarder autour de moi je soulève mon t-shirt, aucunes nouvelles cicatrices, ouf tant mieux j'ai eu peur qu'on mets prélevé un reins! Si Morgan était là il dirait encore qu'il me manque une case, que je pense à des choses étranges auxquelles personnes de normal ne songeraient, mais après tout je suis comme je suis et ma personnalité changeante ne lui déplait pas ~.

Depuis trois jours je le cherche partout, j'ai traverser tout les camps, j'ai du parler a des gens que je ne connaissais pas, me cachais quand d'autres passées tout près quand mon instincts me dictait de le faire .. J'ai reconnue certaines personnes de notre classe, d'autre de notre école mais ceux que je n'ai jamais vu je m'en méfiais, encore maintenant.
Je ne comprend pas ce qui nous arrive, mais je n'ai très certainement pas envie de commencer à faire confiance à tout le monde mon expérience m'a apprit à rester sur mes gardes .
Je crois que Morgan serait fier de moi si jamais il m'avait vu partir tout seul à travers les bois avec un simple sac et quelques vivres. Il faut qu'il me voit !Sinon j'aurai beau tout lui raconter il ne me croira pas, il rira en secouant sa main devant moi pour me faire taire, il pense toujours que je suis un gosse, pire une chochotte! Si il savait le nombre de moustique que j'ai du tuer ou bien de serpent que j'ai enjamber durant leur sommeil pour ne pas perdre de temps à les contourner! Hm tu verras Morgan !

Par contre dés que le soleil oblique vers l'horizon je me met à pleurer , je n'arrive pas à ne pas retenir tout ces pleures qui gorge mon cœur tout au long de ses jours passés loin de lui , je n'ai plus de portable plus rien qui pourrai me servir pour le retrouver, est-il bien ici ? Que je ne m'épuise pas à chercher pour rien ,que je puisse rapidement avisé pour trouver un autre moyen de le rejoindre .
Je m'endors à chaque fois sur place, parfois je me fatigue tellement àle chercher que je tombe de sommeil et dors jusqu'au soir d'après, il m'est alors impossible de reprendre la route . J'ai peur de tourner en rond dans cette jingle, je l'ai mal jouer en décidant de ne pas longer la mer, mais j'ai eu peur de croiser des gens qui aurai pu atteindre à ma vie . Il faut tout craindre ici ..

Un beau jour je trouve enfin le bout de cette maudite foret tropical, et tombe à genoux dans le sable, si soulagé que je m'y allonge durant un moment, comme un trans je ris soulager, maintenant que j'y es réchapper j'y réfléchirai à deux fois avant d'y remettre un pied.
Ma dernière goutte d'eau avaler je m'oblige à me relever, je m'encourage tout fort comme je l'ai fais ces cinq derniers jours et avance, trainant la patte dans le sable . Mes jambes semblent peser dix tonnes, mais je continue néanmoins poussé par une force invisible . La mer se rapproche un peu plus à mesure que mes pieds nus et abimé foule la poudre jaune et brulante . Je geins et me relève après une énième chute mais ferme la bouche quand j'entends plus loin mon nom être crier désespérément . Mon cœur tambourine contre ma poitrine, il a reconnue la voix de celui pour qui il bat,et sans savoir d'où provient cet élan d'énergie je me redresse et part en courant, me dirigeant vers cette faible voix .Je n'arrive pas à lui répondre car mes poumons, plein d'air me brule , ma gorge semble être enflammer et mes yeux gonflés se ferment à moitié, fouetté par l'air que je fend dans ma course.

Là à quelques mètres de moi, Morgan, je ris bêtement, les nerfs sans doute et essaie de me calmer, ramassant mon sac que je traine depuis tout ces jours j'en extirpe mon t-shirt que j'avais retiré puis le renfile après mettre essuyé le visage dedans . Je m'approche de mon amoureux, me recoiffant en même temps .
Je vais faire le mec tranquille pour ne pas l’inquiété, je suis tellement heureux de l'avoir retrouvé ..
Ma main se pose sur son épaule alors qu'il était agenouiller dans le sable le corps tremper .Je lui fais un maigre sourire, ma vue voilée par les larmes .

"Morgan .."

Il me prend contre lui, je me laisse faire tombant à genoux puis en arrière sous le poids de son corps et sous la fragilité de mes membres épuisés par les jours de marches. Allongé sur le sable je le serre fort, comme si ma vie en dépendait j'ai tellement peur qu'il disparaisse à nouveau que nous soyons encore séparé et cette fois pour toujours .
Ma bouche se presse contre sa peau, je fais tout pour ne pas pleurer, ne pas entendre à nouveau ce gentil petit pique qui me fait toujours grimacer, "chochotte." Après tout ce que j'ai traversé , je n'en suis plus une .
J'entends sa voix s'entre coupé de trémolo j'en suis vraiment étonné mais après tout pas tant que ça ,je sais que Morgan m'aime , que notre amour est presque destructeur, alors il a dû être aussi anéanti que moi lorsque à son réveille il n'y avait personne à ses cotés.
C'est un miracle que d'avoir réussit à le retrouver, j'aurai pu mourir des dizaines de fois j'en suis sûr ,et lui aussi et pourtant nous voilà là, allongé dans le sable, enfin réunis .


Je rouvre les yeux quand ses doigts osseux tirent un peu trop brutalement le collier qui colle à ma gorge, qui me lime la peau et la marque de rouge. Je me mord la lèvre, oui nous avons le même signe, et si je me souviens bien je n'ai croisé personne avec ce même dessin . Peu être que nous sommes destinés à être tout les deux? Je me serre un peu plus contre Morgan à cette constatation, ça m'effraie de savoir que des gens extérieur à notre monde savent pour lui et moi, est-ce un jeu?
Je prend un air inquiet quand il promet s’énerver, je n'aime pas le voir fâché, c'est toujours à cause de moi ou ça me concerne de près ,et ensuite pour le faire regagner son état normal je dois donner du miens et savoir arrondir les angles, je déteste faire ça .


Ses doigts caressent ma peau, je souris un peu je sais qu'il ne fait pas ça avec une idée derrière la tête, il a juste besoin d'un contacte chaud, plus intime sans que ça ne deviennent sexuel, peau contre peau ..
Je suis bien contre lui, je n'ai plus froid, plus faim ni mal , mais Morgan décide de me tiré de ma douce torpeur, j'ai beau riposté il rit et me fait me relever, avant de nous guider dans la mer, pourquoi faire ça? On sera tout tremper après et je déteste avoir des vêtement humide qui colle à la peau , c'est presque impossible à retirer sans s’énerver!
Je fais une petite moue en plongeant mes grands yeux aux paupières naturel dans les siens plus fin, plus typé .. et tout de suis mes lèvres s'étirent en un doux sourire et mes traits s'adoucissent, je ne peux pas faire semblant de lui en vouloir, en tout cas pas pour quelque chose d'aussi futile, je suis tellement heureux de n'être plus seul .

Je me rapproche et viens me serrer contre lui, je n'hésite pas car je sais qu'il en a besoin aussi, il n'y a plus besoin de mot entre nous depuis longtemps, on se comprend en un regard, en un sourire en une seule pensée.
Je renifle bruyamment contre sa joue, je réalise être la cause de nos soucis, si jamais je n'avais pas proposer ce voyage pour pouvoir être tranquille loin de chez nous rien de tout ça ne serai arrivé, on serai encore à l'école , peut être , c'est sur rouler en boule sous la couette de mon lit, à ricaner comme des ânes à chaque fois que ma mère viendrai nous demander comme se passe nos révisions . Un frisson de pure peine me transperce le cœur et une vague glacer me claque au dos, je geins en me cramponnant mieux à ses épaules sportives, il est ma bouée de sauvetage .. Morgan est mon oxygène ..


"Je t'aime tellement ..."

Je le laisse nous guider sur la plage, il sort deux serviettes et j’en profite pour retirer mon t-shirt, pour pouvoir me sécher plus facilement . J’ai passer quatre jours torse nu et ma peau en paye à présent les fraies. Elle est boursouflée par endroit à cause des cloques dû à l’exposition trop longue au soleil, et j’ai également plusieurs coupures et piqures à cause d’insectes ou plantes urticantes .Je me demande encore comment j’ai fait pour ne pas pleurer, moi qui d’ordinaire fond en larme devant une simple araignée des champs. Avec les mygales que j’ai côtoyé ces jours ci il est clair que si nous rentrons chez nous je tirai pas mal d’enseignement de ce que nous sommes entrain de vivre.
A cette simple idée mon cœur se serre et quelques gouttes translucides échappent de nouveau à ma vigilance pour venir caresser mes joues meurtries. Je m’en veux toujours mais mon cœur est moins lourd, je suis avec celui que j’aime et il n’a en apparence rien de grave , une culpabilité en moins, je ne sais pas ce que j’aurai fait si jamais je ne l’aurai pas retrouvé ou pire encore qu’il soit décédé.
Il vient me prendre contre lui et je ne refuse pas cette étreinte dont j’ai tant rêver . Je noue mes maigres bras autour de son cou et y enfouis mon visage, frissonnant quand sa bouche vient emprisonner la peau sensible de mes épaules. En écartant la tête j’abaisse du bout des doigts le collier en fer qui emprisonne sa gorge, son tatouage est toujours là mais beaucoup moins visible, ça me rend tout triste mais maintenant je passe ce problème au second plan, alors qu’avant je l’incendiais quand ses cheveux le dissimulaient.
J’avais tellement besoin de prouver au monde entier que Morgan était à moi alors que aujourd'hui ma seule motivation est de rentrer sain et sauf en Corée du Sud ,que lui au moins ne paye pas trop cher le fruit de mes caprices.
Il a beau dire tout ce qu’il veut je m’en voudrai toujours de l’avoir entrainé là dedans .

Morgan s’écarte, oh il veut que je me change là? C’est tellement gênant . La serviette autour de la taille je fais lentement ,et péniblement descendre le long de mes jambes brulées par le soleil et le sable mon boxer sale pour en renfiler un autre, celui présent dans le paquetage que j’ai trouvé à mes cotés en me réveillant .
Je relève la tête vers lui en lâchant le drap de bain humide et viens nouer encore une fois mes bras autour de son cou, pour partager un baiser plein d’amour et de tendresse. Moi qui était déjà tellement demandeur d’attention et de caresse je crois que là mon pauvre Morgan ne pourra plus passer un instant seul .

Il me sert contre lui, menace des adversaires invisibles en effleurant mes blessures qui ne sont plus douloureuses. Entre ses bras je me sens tellement en sécurité, chouchouté, comme une petite chose si précieuse ..que j’en joue, et je ne peux pas m’empêcher de minauder encore .
Mon index glisse sur ses lèvres et s’arrête à la commissure alors que ma bouche se presse en une moue qui se veut « à croquer » .

« hm, je n’ai pas envie que tu te fasses mal ,ou qu’on t’en fasse .alors promis je ferai attention, oui oui , oui . »

Tout en articulant ses derniers mots ma bouche se rapproche dangereusement de la sienne alors que mes coudes solidement appuyé sur ses épaules font descendre mes mains délicates dans sa crinière ruisselante d’eau de mer .
Notre baisé est langoureux, un peu trop humide et bruyant mais pourtant tellement bon . Je ne prête pas attention à ses mains sur mon corps, je crois qu’il veut me soigner, c’est mignon mais mes blessures sont déjà en voie de cicatrisation, au pire j’aurai quelques marques à vie, mais rien de bien laid. J’éloigne nos bouches, glissant sur mes lèvres une langue mutine, lui adressant au passage un regard chaud emplis de sous entendu . Je veux juste jouer, détendre l’atmosphère et le rassurer .
On se prend par la main et on s’éloigne un peu du bord pour se rassoir quelques mètre plus loin, toujours sur la plage. Assit entre ses jambes je joue avec le sable et le laisse parsemer ma nuque de baisés et ses doigts trifouillé mes cheveux sales . Quand il m’a touché les fesses précédemment j’ai fais exprès de ne pas relever, mais seulement sur le moment, car il croyait justement le contraire . On joue, toujours même après deux ans de relation on continu de se chercher , et j ’aime ça . Morgan est vraiment l’homme de ma vie et j’emmerde ceux qui trouve cette phrase bateau ,ce sont forcement des rageux en mal d’amour .
Doucement mes mains remontent contre ses cuisses viriles et y déposent une pluie de minuscule pépites jaunes, chauffantes aux soleil . J’esquisse un sourire en réitérant mon geste avant d’appuyer plus franchement sur sa peau, massant ses cuisses , le dos appuyé contre son torse virile. Je me mord la lèvre, bougeant circulairement les mains et de façons assez appuyé pour lui faire ressentir toutes sortes de choses, mais surtout les meilleures .
Je ferme les yeux en me pinçant durement la lèvre inférieur alors que mes doigts effleurent ses genoux , j’ai rêver plusieurs nuits que pour nos retrouvailles il me fasse sauvagement l’amour, j’aimerai bien choquer ses sales connards qui nous mattent certainement à l’heure qu’il est . Mais je ne veux pas gâcher cet instant intime si vulgairement, ça à trop de signification, alors je me contente simplement de l’allumer, comme je l’ai toujours fait, parce que ma manière à moi de jouer c’est celle là .

Je le sens, il s’emballe sa me fait rire, même après autant de temps , il ne me connait toujours pas, ou si bien sur que si mais lui ne sait pas encore comment contrôler ça ,et y mettre un terme . Peut être qu’après tout Morgan cache secrètement un coté un peu plus masochiste? Oui je soupçonne vraiment mon copain d’aimer quand je le fais souffrir en le chauffant et arrêter tout geste alors qu’il est sur le point de venir . Pourquoi fait-il ça? Apprécier la frustration c’est un peu une façon de se punir non ? Qu’est-ce qui pourrai lui donner envie de se repentir ..notre relation? Le fait d’être amoureux d’un autre homme? Je ne sais pas si Morgan a déjà eu des conquêtes masculines avant moi, même si l’envie de savoir était grande je suis bien trop jaloux , je crois que je ne supporterai pas ce genre d’aveu.. Ses larges mains glissent à l’intérieur de mes cuisses, je les sens elles sont font parfois trop curieuses, elles palpent des parties de mon anatomie qui me font rapidement geindre de plaisir ou me tordre sous un frisson fort désagréable . Je suis un garçon très réactif, presque toute les parties de mon corps peuvent être dites érogènes, il ne m’en faut pas beaucoup pour gémir ou frémir, ce qui a toujours beaucoup arrangé mon Morgan , parce que lui est très voir trop tactile, il aime me faire sien , m’asservir en me faisant perdre la tête avec de simple touché .
Je le sens d’ailleurs de plus en plus quémandeur, il me caresse franchement l’entre jambe et même si au début je voulais juste lui faire tourner la tête là je commence à perdre pieds, mes sens ne me répondent plus, j’ai de plus en plus envie de faire tomber les rempares que j’ai volontairement dresser dans le but de ne pas céder. Alors en réponse à cette perte de moyen je fais se mouvoir plus lascivement mon bassin contre la bosse que je sens contre mon dos . Elle n’est que très légère, mais je n’en suis pas vexer, Morgan est vraiment dur à excité même si il arrive très rapidement à se mettre en situation et a entrer dans le jeu .
Très lentement ,mon bassin s’abaisse alors que mes jambes se tendent , mon ventre touche à présent le sable je suis très souffle comme garçon et ça m’aide beaucoup .
Continuant mes lents mouvements je me laisse faire les yeux fermés je me laisse doucement entrainer par ce que j’ai moi-même commencé à entreprendre, ses mains ont finis par agripper mes hanches osseuses qu’on devine parfaitement au travers de mon boxer .
C’est tellement obscène, déplacer ce que nous sommes entrain défaire, on mime l’acte sexuel JE fais en sorte qu’il ressente les mêmes sensations, celles du début, timide et peu assurées, ce sont toujours les meilleurs et celles que l’on garde jusqu’à la délivrance .

Il est bien partie là, ses mouvements sont tellement désordonner, son bassin claque même par moment contre mon fessier, signe qu’il n’a plus la patience d’attendre que je me bouge moi-même , ça me fait rire j’aime ça, parce que ça signifie que j’ai gagné . Je vais mettre un terme à son supplice, doucement avec beaucoup de mal je vais me relevé en cambrant mon dos , une dernière ondulation sensuelle qui me permet de me décaler , pouvoir me séparer de sa prise, de ses griffes possessives . Je me hisse sur mes jambes, tout ça m’a vraiment trop excité mais très certainement moins que lui , je vais mettre un peu de distance entre nous , je le sens son regard brulant, très lentement l’idée que je vais le laisser dans cet état se fait une place dans son esprit, je me retourne pour savourer ce changement d’expression, il y a toujours une infime lueur de haine, presque une envie de meurtre dans ses yeux quand je m’éloigne en le laissant en plan .
Pour pousser un peu plus le vice je lui envoie un doux baisé avant d’aller ramasser mes affaires restées un peu plus bas.

C'est bien la première fois que Morgan n'est pas rester passif, pantois face à ma réaction inattendue mais qui n'est néanmoins pas inédite .Combien de fois t'ai-je fais espéré un rapport? Tout du moins l'ai fait languir jusqu'à ce que tu n'en puisses plus?
J'aime vraiment ça , je me sens plus puissant que toi, trop dépendant de mes gestes, bien souvent tiède et spectateur, tu attends que les choses viennent ,que je fasse tout le travail . Et ça me frustre.
Je me suis découvert un coté assez masochiste, il faut dire que je l'ai toujours un peu été, plus petit j'aimais me faire surprendre entrain de faire une connerie , j'attendais que ma mère me cri dessus et plus vieux je me faisais remarquer , je provoquais les garçons de ma bande jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus, mais je les manipulais assez pour qu'ils ne lèvent pas la main sur moi . Je ne dis pas avoir toujours pu éviter les gifles ,se serai mentir mais le jeu en valait la chandelle, lire l'impuissance dans leur regards toute l'impuissance de ne pas pouvoir me frapper pour me corriger .

Une prise sur ma hanche me fais sursauter, je geins en me débattant faiblement, Morgan est en colère et Dieu que c'est bon! Je geins faiblement ,les doigts crispaient sur mes affaires, je résiste juste ce qu'il faut pour qu'il se sente maitre de la situation, j'aime ça je suis tellement sensible à ses rares excès de colère. Morgan a un grand self-control avec moi mais j'ai entendu dire que ce n'était pas le cas avec les autres.
Il me mène à l’écart , j'ai confiance en lui et j'ai moi même été l'investigateur de tout ça ,alors je ne prend pas peur,quand il est de dos je me mord la lèvre sous l'envie, mais quand son regard croise le mien j'adopte un air soumis et fautif , tout ce qu'il aime.

Allongé dans le sac de couchage, prisonnier de ses jambes et de son torse je me débat alors, de plus en plus vivement en secouant vigoureusement la tête. Un de mes bras resté à l’extérieur du cocon douillé s'appuie contre le rocher et mes doigts si crispe, alors que mon bassin fait mine de se frotter par maladresse contre sa bosse, j'ai envie de la sentir, de continuer à nourrir subtilement son excitation ,comme si de rien était.

"Non ! Arrête! Je vois pas de quoi tu parles! "

Je prend un air effarouché en plongeant mon regard dans le sien, j'aime vraiment trop ses yeux, même si au premier abord on a l'impression que Morgan est dépourvu d'expression c'est faux, ses deux yeux bridés renferment une froideur qui me fait frémir jusqu'au creux des reins, j'aime quand il aborde cette expression , oui je suis définitivement un chercher de merde, j'aime m'attirer des ennuies et me faire un peu -beaucoup- malmener . Mais seulement quand je l'ai décider et que je peux encore retourner la situation .
Fermant les yeux mes mouvements deviennent plus franc, il n'y a plus de toute à avoir je reprend mes lents ondulations, un sourire borde mes lèvres alors que mes paupières se ferment à mesure que ma bouche s'entre ouverte. Je ris, presque de façon érotique, ça me manquait trop, mais je ne veux pas qu'il se calme, qu'il redevienne doux et coulant, ce n'est pas pour moi ça ,et en y réfléchissant c'est bien son seul défaut .

"J'ai envie ....Envie de te gouter ..."

Ouais j'ose, tu vas rougir? Laisse moi rire on est suffisamment grand pour ne plus réagir comme des gosses quand je te propose ce genre de traitement . Tu en rêve ne le nie pas , je le sais, tu louches trop souvent sur ma bouche pour n'avoir envie que d'un simple baisé.Ouh~je crois qu'être perdu , seuls à l'autre bout du monde a finit de me désinhibé, est-ce que tu m'aimeras toujours ainsi? Tu le sais pourtant que je ne tourne jamais longtemps autour du pot, tu me fais devenir celui que je suis réellement , au plus profond de moi, je t'aime et je veux que tout les jours tu le sache, que cet amour grandisse un peu plus ,que je réponde sans hésité à la moindre de tes envies .

Mon t-shirt mais trop brusquement arraché, je geins cette fois franchement ces gestes sont saccadés dénués de tendresse, ce n'est cependant pas pour me déplaire mais tout de même, modère toi!
La tête légèrement inclinée je finis par me laisser entièrement faire, il me retire tout mes vêtements et ça me donne une désagréable sensation vers le bas de mon corps . Je te dévisage un long moment, tu es comme fou, je ne te reconnais pu et même si ça m’effraie je trouve ça déroutant, presque excitant de te surprendre dans un tel état parce que c'est presque inédit pour moi , oui je n'ai pas le souvenir de t'avoir déjà vu ainsi. Doucement mes yeux se referment, nos peaux bouillantes se frôlent mais pas que, il en vient à me mordre, à me coller à m'en faire suffoquer, Morgan est si différent il me reproche mes humeurs changeantes mais lui alors ...

Il n'est pas patient, j'allais glisser entre nos deux corps pour gagner le centre du sien mais le voilà déjà entrain de baiser ma peau, son souffle suave m’électrise et durant un instant me fait perdre le file de mes pensées. J'en oublie ce que j'étais censé faire , je ne fais que savourer sa bouche, la pointe de son nez busqué et ses doigts osseux sur mon corps aux sens enflammés . Je halète presque, tentant tant bien que mal de réprimer les vagues de plaisir qui m'étreigne et me coupe le souffle, elles se concentre pour la plus part dans le creux de mes reins, me forçant à ondulé mon bassin dans l'espoir de les dissiper.
Je rouvre les yeux, après des minutes interminables de tortures délicieuses ,et essaie de le repousser, mes fines mains glissant agréablement sur son dos et dans ses cheveux, emporter par le plaisir qu'il m'offre si infime soit-il.

"Attend....Attend ..."

Il devrait m'écouter! Il est mon dongsaeng! Ma prise dans ses cheveux se raffermis alors que je le sens gagner un peu plus prestement mon entre jambe,à ça non mon cher, ce n'est pas dans mes plans. Avec fermeté j'arrive à le repousser , la fermeture éclaire du sac lâche et nous expose de nouveau à la lumière . Je ris quand lui grogne frustré , à genoux l'échine face à la mer. Relever sur mes coudes je le toise d'un regard de défie, une lèvre pincée entre mes dents. Je le dévisage , mon regard langoureux et plein de sous entendu parcourt son torse musclé avec envie, je garde les cuisses écartées alors que je me relève ,assit dos droit .
Ma langue glisse lascivement au coin de ma bouche tendit qu'une de mes mains s'égare sur mon nombril joliment percé que je triture pour m'exciter un peu plus .
Je me souviens que lors de notre première fois, j'avais été très gêné, d'être ainsi nu devant lui, on avait du le faire lumière éteinte et à plusieurs reprise Morgan avait échapper des rires gênés quand il avait eut du mal à deviner mes formes dans le noir visualiser mes jambes et notre futur point d'unions. Alors après plusieurs effleurement peu agréable j'avais céder , un foulard de ma mère avait été jeter sur ma lampe de chevet pour tamiser la lumière et tout s'était plutôt bien passé après ça.
Mais aujourd'hui ,alors que le soleil est haut dans le ciel, je m'expose sans honte, parce que j'ai compris depuis longtemps que mon corps le rendez dingue, surtout quand des spasmes incontrôlable le posséder . Il ne m'a pas encore demander de pouvoir filmer nos ébats mais je sens que ça ne saurai tarder.
Mes jambes ramenées sous mes fesses je me penche, presser ma bouche contre son torse masculin, assit face à face je parsème sa peau brulante et un peu sale de baisés mouillés, de petites morsures grisantes et de coup de langue gourmands . Souriant d'envie je laisse glisser mes lèvres charnues lentement jusqu'à son nombril que je suçote alors une main sur sa cuisse l'autre crispée sur la housse du sac .
Alors que je sens l'envie presser un peu plus fort encore mes tempes et désordonner mes gestes je remonte avec précipitation mes lèvres à son oreilles, que je lèche et embrasse sans gêne:

"Laisse la moi, j't'en pris ..."

Ma langue caresse sa joue puis sa bouche quand une de mes mains s'amuse déjà à palper le fruit défendu . Un gémissement m'échappe, moi qui n'avais envie de rien, juste de le frustrer et l’énerver me voilà pris à mon propre jeu, j'en veux et en redemande même, je suis là à le flatter pour sentir son excitation aller à son paroxysme pour atteindre également le miens. Sans plus longtemps refréner mes ardeurs j'enrobe l'extrémité de son membre de ma bouche lubrifier de salive et entame un premier et timide mouvement de succion histoire d'humidifier un minimum cette douce sucrerie que mon corps réclame .

Je ferme immédiatement les yeux au contacte de ses doigts dans mes cheveux encore légèrement humide . j'expire même dans un gémissement tout l'air qui comprimait mon coeur et qui refusait de quitter ma cage thoracique tant que je n'aurai pas eu son approbation à continuer.
Aussi loin que je me souviens il n'a pas encore dit non à ce genre de traitement, mais ne me l'a d'ailleurs jamais vraiment quémander explicitement , est-ce de la fierté? Honnêtement je préférai, car me dire qu'il n'accepte seulement que pour me faire plaisir me ferai me sentir vraiment honteux , je n'ai testé ça que sur lui mais je veux croire que je suis doué .
Ma langue caresse habillement son sexe dressé, même les yeux fermés j'arrive à en redessiner les contours sans me tromper, m'arrêter quand elle en arrive à son extrémité plus large et sensible .
Morgan n'a jamais fait preuve de violence à mon égare, même si parfois je le sens, il lui arrive d'être dominé par ses pulsions une infime partie de lui garde le contrôle et le force à se frustrer, rien que pour ne pas me faire mal ou pire , me faire peur et perdre toute confiance en lui.
Mais à force de se freiner j'ai finis par vouloir découvrir ses limites,le provocant toujours un peu plus, même durant l'acte en lui imposant des rythmes lents, trop lents pour lui mais si bon pour moi.
Sa prise sur ma tête me force à en ravaler plus, je geins en m'exécutant, réagissant positivement à toutes cette fougue insolite entre nous, y répondant docilement faute de savoir quoi faire .
Mes lèvres pulpeuses caressent encore d'innombrable secondes son membre dur , l'humidifiant au maximum, c'est une précaution pour ce qui suivra surement .
Cette fois il me tire durement les cheveux, me faisant pousser un cris de douleur et d'impuissance, heureusement que ma bouche était sur son gland ,sinon un coup de dent aurai pu répondre à son geste inattendu . Je le dévisage un long moment sans comprendre vraiment le regard qu'il m'adresse puis clos enfin les paupières quand sa bouche vient s'emparer sans douceur de la mienne.

Ses doigts humides caressent un temps ma joue avant de s'aventurer entre mes fesses, me crispant un instant avant de me faire perdre la tête . Le front appuyé contre son épaule je reste là, immobile à le laisser me préparer pour la suite, c'est sommaire est plutôt douloureux mais je ne lui en tiens pas rigueur, l'envie nous fait parfois bâcler les étapes que l'ont ne juge plus que comme de simple corvée .

Rallonger sur la couche je le regard s'allonger sur moi, mes mains caressant très lentement sa taille et ses flans , rien que pour le calmer et lui procurer également de délicieux frissons . On se regard, je lui souris lui ne pense qu'à venir me dévorer la gorge, me mordre puis lécher ma peau , je ris d'un rire cristallin ,rejetant la tête en arrière pour lui laisse plus de matière .
Mes cuisses blanches, couvertes de sueur et brulantes de désir se presse contre ses hanches, l'emprisonnant sur mon corps . On s'embrasse encore, il ne reprend presque plus son souffle et ce signe est souvent annonciateur que les choses vont s'accélérées, il ne le sait peu être pas mais il agit souvent de la même manières, avant et après avoir fait l'amour .


En moi, enfin, ses va et viens sont brutaux mais terriblement bon, son souffle dans ma nuque me force à ne pas fermer les yeux, à ne pas totalement m'abandonner à ce qu'il m'offre ,sinon je risque de venir et je serai très déçu de n'avoir pas su profiter de tout ce plaisir .
Mes mains remontent dans son dos,dans l'espoir fou de pouvoir me rattacher à quelques choses, à ne pas simplement me faire balader d'avant en arrière, empaler sur sa virilité qui me pille à m'en faire crier de ravissement . Son bassin claque contre mes fesses et mes cuisses opalines, il est là , il me surplombe en me portant toujours ces regards chauds, brulants, pleins de sous entendu mais surtout aimant, désireux .. J'en suis tellement accro plus encore qu'à son délicieux sexe .
Sa joue frotte contre la mienne ,grisant les sensations qui m'oppressent,rendant encore plus insupportable le plaisir qui se répand dans mon corps . Je ferme les yeux, continuant mes sons, mes soupirs et mes gémissant, couvrant ceux caractéristique de nos deux corps unis .

Alors qu'il ralentit légèrement la cadence de ses coups de reins je peux enfin jouer, reprendre mon rôle de trouble fête dans le but de le faire s'enrager, ou mieux le flatter pour qu'il me récompense . Aux creux de son oreille, comme des secrets inavouable je commence à tout dire, ce que je ressent, comment je me sens, ce qu'il est entrain de me faire, je pose un mot sur ce qu'il a mit entre mes cuisses, je lui révèle absolument tout, parce que j'aime ça et que lui aussi .

Mais bientôt je n'arrive plus, chacune de mes phrases ou même mes mots sont entre-coupées de gémissement plaintifs, de couinement désespérés et de halètement douloureux alors je me laisse aller, je ferme les yeux et ne fais plus que soupirer, sans m'arrêter, laissant ce divin orgasme me submerger .


Le poids de son corps me quitte, je rouvre difficilement les yeux alors que ma bouche, pas sceller une seule fois happe l'air bruyamment . Je le regarde, je ne peux pas lui sourire, les mains à plat sur le haut de mon torse je sens le rythme affolé des battement de mon corps qui anime mon buste . Je sais, il veut mais qu'il attende, il m'a achever, mais il m'a fait renaitre , je suis enfin entièrement rassuré .
Mes yeux se ferment quand il me prend contre lui, et mon front retombe sans force sur son pectoraux. Après plusieurs minutes une de mes mains, toujours tremblantes, remonte faiblement le long de son bras et vient glisser dans ses cheveux, s'y perdre et s'y accrocher .
Je souffle un "je t'aime" innocent, sincère et pure avant de sombrer , totalement épuisé .

Je dormais si bien ,et lui me réveille comme ça, sans compassion! Il pourrai comprendre qu’après avoir subit tout ce qu’il m’a fait il me faut beaucoup de repos! Je pense qu’il faudrait qu’un jour je domine , là au moins Morgan arrêtera de minimiser la douleur ou la fatigue d’un post-orgasme . Vu que je ne suis pas d’accord, je vais forcement faire languir les choses, ne pas donner du miens pour que tout se déroule dans le calme .Je traine tellement qu’il se sent obliger de me rhabiller lui-même je le laisse faire pour le caleçon car c’est assez drôle, mais je chasse ses mains sans remord quand il commence à me relever les bras pour passer mon débardeur . «Je ne suis pas un empoter, merci . »
Je le foudroie du regard mais lui ne semble pas réagir, pire encore il s’en amuse, je n’aime pas quand il ne me prend pas au sérieux, quand il revêt son masque du mec viril et cool ,celui qui ne se prend jamais la tête et qui se moque bien des ressentis de sa copine .
Goujat va!
A force d’opposer autant de résistance et de faire preuve de mauvaise foi sans le cacher, Morgan prend le problème à bras le corps et me saisi sans que je m’y attende, comme un vulgaire sac à patate il me jette sur son épaule ,me faisant geindre et remuer .

« REPOSE MOI ! »

Je pousse plusieurs petits cris, assez aigus, et mes poings viennent même frapper de plus en plus énergiquement son dos de sportif . Après avoir résister plusieurs minutes, il cède et me repose à terre, moi tout content je me pavane en le pointant de mon index osseux:
«Pour qui me prends tu ?! Hm ! Aller met toi accroupi, je vais monter sur ton dos , idiot . »

Il le fait non s’en me donner une petite fessée au passage puis reprend sa route une fois que je suis bien installé . De là où je suis-je peux voir le beau couché de soleil alors que nous nous éloignons de la plage .Ne pas avoir à marcher permet de reposer son esprit, peut être plus que ses jambes et je peux donc mieux profiter du panorama, comme si j’étais en vacances .
Ma joue s’appuie mollement contre sa tête, je soupire pour la centième fois et souffle sur un ton joueur.

« Moooorgan ….Tu sais pourquoi je ne peux pas marcher? ! »

Alors qu’il allait répondre je lui coupe la parole puis reprend en gloussant, bâtant l’air avec mes pieds nus .

« Parce que tu m’as fait tellement de bien tout à l’heure que mes reins me brulent toujours, oui Kim Morgan ici présent m’a donner un super orgasme !! »

Je ris en joignant mes mains autour de ma bouche pour faire porter ma phrase au delà des collines. Je ris alors que lui soupire, exaspéré . Me replaçant bien je continue mes gloussement, les lèvres pincées je resserre ma prise sur son cou ,sans l’étrangler, rien que pour le sentir tout contre moi .J’aime quand il me porte sur son dos, j’aime le sentir marcher et pouvoir me soutenir à la fois, c’est tellement sécurisant d’avoir un homme fort sur qui compter .Je sais que quoi qu’il advienne ici, Morgan fera tout son possible pour me protéger, parce qu’il m’aime, parce qu’il sait que moi aussi …
Quelques larmes viennent troubler ma vue, je geins plaintivement en tentant de les sécher avant qu’elles ne coulent sur mon visage, tu détestes tellement ça, me voir triste et en plus je ne le suis plus, parce qu’on est ensemble, réunis contre l’adversité.