WELCOME AT THE MAGICIAN’S SCHOOL, ANIMA


Lumina. « Bienvenue à l’école de magie Anima. Je suis XZ - 476 - Lumina, la voix qui vous guidera tout le long de votre séjour. Veuillez descendre de la navette en prenant vos affaires. La cérémonie de début d’année, qui permettra de désigner les maisons des nouveaux élèves, va bientôt commencer. Bon séjour à Anima ! »

Tel est le message de bienvenue à lors de votre arrivée sur l’île de Rozelam, berceau de l’école d’Anima.
Que vous veniez du Japon, de la Corée, de la Chine, vous avez été appelés pour devenir un magicien, et étudier à l’école d’Anima. Pour certains c’est un monde inconnu, pour d’autres c’est un quotidien. Ne vous étonnez pas de découvrir les Animorphes, ces humains aux gènes animaux, les Hommes et Femmes-chats, humains aux traits félins... Et les humains tout courts. Pas de différence entre les races, vous êtes magiciens et vous êtes tous dans le même bateau.
Vous côtoierez également les Uniques, des humains dotés de pouvoirs spéciaux et rares. Ils peuvent choisir de se dévoiler ou non, mais il l’en reste que leurs pouvoirs sont convoités.
Et il y a vous. Que choisirez-vous ? Qui décidez-vous d’incarner, quelle voie sera la vôtre ? La magie est illimitée. À seize ans, vous entrerez à Anima, où vous étudierez pendant sept longues années. Des éléments en passant par des connaissances médicales, la magie utilitaire ou encore la défense et l’attaque par les armes, vous apprendrez tout, avec plus de facilités pour certaines matières que pour d’autres. Vous perfectionnerez vos capacités héréditaires pour les Animorphes ou les Chats. Et les Uniques apprendront à se servir de leurs dons.

Lumina. « Le monde magique est omniprésent dans le monde « normal », et c’est un travail énorme que de le dissimuler. Il existe des quartiers magiques immenses dans les capitales de Corée du Sud et du Japon, pays les plus proches d’Anima. Vous devrez contribuer à protéger Anima. »

WELCOME AT ANIMA, A NEW INTERNATIONAL MAGIC ACADEMY
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Souvenez-vous de l'explosion de la centrale nucléaire Fukushima en 2011. Cette catastrophe n'a pas seulement fait que des morts et des victimes, mais elle a également créer des êtres surnaturels. Les radiations ont provoqué chez certains individus des capacités physique et/ou psychique extraordinaires. Ils sont dotés de pouvoirs, comme la télékinésie, lévitation et j'en passe.

«J'ai débarqué dans cette ville il y a, je dois bien l'avouer, des siècles. J'ai quitté l'Amérique car la situation devenait dangereuse pour les femmes de ma condition. D'ailleurs, je n'ai jamais comment pourquoi les hommes avaient une telle fascination pour faire brûler les femmes de ma caste. Enfin bref, là n'est pas la question. Je suis arrivée en Corée en 1692. Pourquoi la Corée ? J'avais besoin de trouver le pays, empire à cette époque, le plus reculé qui soit pour rester en vie. Une terre vierge. J'ai dû m'adapter et finalement, en un siècle, je me considérais enfin comme une habitante de ce pays. Comme vous vous en doutez, une occidentale dans un univers oriental, ça ne passe pas inaperçu, mais vous saurez que l'Asie regorge de légendes fantastiques et donc, je n'eus qu'à jouer le rôle de telle ou telle divinité. C'est grâce à cela que j'ai pu vivre une vie prospère pendant toutes ces années...jusqu'à ce que les occidentaux arrivent.
J'ai vécu de nombreuses années en compagnie d'une de mes amies Chamane pendant une longue période avant de revenir vivre parmi les hommes. Je me suis mise à les observer. C'est alors que je me suis dit qu'ils étaient vraiment fades et j'ai commencé à sérieusement m'ennuyer. Je me demandais toujours, si toi jeune apprenti boulanger tu étais célèbre, comment agirais-tu ? Et toi jeune pimbêche, si tu étais une reclus de la société ? Toi, oui toi vieil homme avare, si tu étais la personne la plus charitable du monde ? Autant vous dire que j'ai passé énormément de temps à penser à toutes les possibilités. Changer la nature des hommes, voilà ce à quoi je voulais jouer.
Maintenant, je me fais un plaisir de jouer avec leur nature. J'aime ça, c'est drôle. Il ne le savent pas, cela arrive comme ça. D'un seul coup, ils agissent différemment, comme des personnes schizophrènes ou bipolaires. Que dirais-tu de rejoindre mon jeu ? Je peux t'assurer que tu t'amuseras autant que moi...»

Séoul, 2012. Depuis plus d’une soixantaine d’années déjà, la Corée du sud est une monarchie constitutionnelle. En effet, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ont œuvré pour favoriser le retour dans la péninsule de la famille royale. Moins d’un demi-siècle auparavant, les forces d’occupation japonaises avaient poussé celle-ci à l’exil. La voilà qui retrouvait enfin sa patrie et ses racines. Mais cette réinstauration devait être plus symbolique que politique : elle visait à rassembler derrière une seule et même dynastie, alors même que les tensions entre le Nord et le Sud du pays croissaient de jour en jour. Malgré tout, en 1953, Pyongyang fit sécession. Le retour de la monarchie était censé promouvoir l’unité du pays ; il n’en empêcha pas la division. Aujourd’hui, il fait même l’objet de nouvelles dissensions

Il y a d’abord l’éternelle remise en question de la légitimité de la famille royale qui n’a plus aucun rôle, si ce n’est un de représentation. Certains se demandent : « A quoi bon garder une vieille tête couronnée quand on a déjà un premier ministre et un parlement pour prendre toutes les décisions ? ». D’autres s’insurgent : « Quoi ?! D’honnêtes et braves gens triment chaque jour pour payer leurs impôts. Et pendant ce temps, une bande de privilégiés boit le thé et se la coule douce dans un beau palais ? Elle est belle, l’égalité, hein. »

Ces critiques sont anciennes, mais des évènements récents les ont renforcées Leurs altesses royales n’ont plus seulement à combattre des détracteurs extérieurs. Il y aurait des luttes et des rivalités au sein même de leurs rangs. Il ne s’agit pour l’instant que de rumeurs. Mais on chuchote avec toujours plus de frénésie que des querelles fratricides menacent l’unité de la dynastie. En effet, le prince héritier n’a toujours pas d’enfant. Peut-il accéder au trône quand sa succession n’est pas assurée ? Le roi ne préférera-t-il pas confier les rennes du pays à l’un de ses fils cadets ? Les débats sont ouverts, et les paris commencent déjà. La course au trône s’engage. Chacun a ses supporters et partisans. Les alliances se font et se défont.

On dit de la Corée qu’elle est le « pays du matin calme. Quand le jour naît et que le palais dort encore, cela est peut-être vrai. Mais quand la nuit tombe, protégeant de son voile d’obscurité ambitions secrètes et complots qui se préparent dans l’ombre, que reste-t-il encore de cette prétendue sérénité ?

« Cavalier en B5. »

Il aimait les échecs. Dans ce monde fait de lignes perpendiculaires et de cases noires ou blanches, chaque pièce avait sa place bien déterminée. Quand on déplaçait l’une d’entre elles, ce n’était jamais que selon une stricte hiérarchie et des règles inflexibles. Il n’y avait pas de mouvement spontané, gratuit, imprévisible. Il fallait sans cesse avoir un plan préétabli et s’y tenir. Certes, cela ne signifiait pas pour autant que l’on se trouvait toujours à l’abri du danger : une seconde d’inattention, et c’était votre roi qui était menacé ; une autre, et un coup de votre adversaire emportait votre reine. Mais un peu de concentration vous faisait nécessairement repérer une tour derrière laquelle se réfugier, ou bien même quelques pions à sacrifier. Dans ce jeu, tout n’était que pure stratégie et froide raison. Et pendant un temps, il avait eu l’audace de croire qu’il en irait toujours de même.

« Fou en H3. Sauf votre respect, votre altesse, je dois vous avouer qu’il me semble que vous perdez la main. »
« Sauf votre respect, M. le Premier Ministre, je dois vous avouer que dans ces moments-ci, j’en viens presque à regretter le temps où cette remarque vous aurait valu d’avoir la tête tranchée pour crime de lèse-majesté. »

Il s’était lourdement trompé, et les années lui avaient assez appris à ses dépends qu’on devait constamment compter sur un peu de hasard. La roue ne cessait jamais de tourner, et l’on pouvait toujours relancer les dés. Les paris continuaient, même si rien ne garantissait que l’on récupérerait. Lui par exemple ne s’était pas épargné la moindre peine pour, un jour, redonner à sa famille l’éclat qu’elle avait par le passé. Petit, il avait entendu dire comment les Japonais avaient envahi leur beau palais, puis avec quelle terreur ses oncles et tantes épouvantés avaient fui en emportant ce qu’ils pouvaient encore trouver. Son père était mort devant lui, dans la honte et dans l’oubli. Il s’était donc promis de laver l’honneur terni de sa dynastie, d’effacer les tâches dont l’Histoire l’avait accablées. Ses efforts semblaient avoir été finalement récompensés. Après des décennies passées dans l’ombre et la solitude, il revenait, roi de cette nation dont ses ancêtres avaient dû s’exiler. Mais aujourd’hui, son empire menaçait de s’écrouler. Les problèmes s’accumulaient. Son fils aîné demeurait sans descendance ; les frasques de son cadet défrayaient la chronique. Un peu partout dans le pays, des voix s’élevaient et commençaient à protester. Cela signifiait-il que la partie était terminée et qu’il perdait ?

« Tour en F8. »
« Vous êtes certain… ? »
« Je ne me rappelais que vous étiez si bavard. Est-ce votre réélection qui vous a tant délié la langue ? Contentez-vous de vous concentrer. »
« … bien. Echec. »

Jamais. Il n’était pas fait pour abandonner. Une manche seulement ne suffisait point à déterminer un vainqueur. Déjà, on battait les cartes pour les redistribuer. La donne changeait. Il n’y avait pas qu’avec son aîné que l’on pouvait jouer. Celui-ci était encore le premier en lice pour hériter, mais qui disait que ce titre ne pouvait pas être remise sur le tapis ? Il ne s’agissait point de son unique enfant, sa femme lui en avait donné trois autres. Son deuxième fils n’était peut-être pas particulièrement sérieux ; sans doute se préoccupait-il davantage de ses conquêtes amoureuses et de ses soirées arrosées. L’avenir de son pays lui importait peu. Mais son charisme pouvait aisément compenser ce manque de patriotisme. Il était en effet très populaire. On appréciait son humour, sa répartie, sa joie de vivre. Cela était loin d’être le cas pour l’autre de ses fils, son petit dernier. Celui-ci se révélait intelligent, brillant même. Mais l’ambition qui brillait trop vivement dans ses yeux inquiétait, ses manières rigides et austères ennuyaient. Puis finalement, il y avait sa fille, sa charmante et délicieuse princesse. Elle aussi était compétente et ravissante, mais enfin… elle restait malgré tout une femme.

« Votre altesse… ? C’est… C’est à votre tour… »
« Patience, très cher. Patience. Tout vient à point à qui sait attendre. »

Lequel de ses chers et tendres bambins avait sa préférence ? Sur ce point, le mystère planait. Il ne fallait jamais révéler trop tôt son jeu ; mieux valait savoir garder ses atouts. Surtout que ses adversaires étaient là, à l’affût, guettant le moindre de ses faits et gestes pour mieux le critiquer et le piéger. Il les voyait dans tous les couloirs du palais en train d’intriguer, traquant les failles de chaque prétendant à la couronne, faisant parfois mine de s’allier avec l’un d’eux afin de mieux le trahir après. Quand son choix serait finalement annoncé, journalistes, parlementaires, opposants de tous bords seraient sans pitié. Aussi, pour mieux se protéger, il ne pouvait plus que bluffer et espérer.

« Echec et mat. »
« Co-Comment ? »

Un sourire triomphant s’étira sur les lèvres du monarque, tandis que le visage du Premier Ministre se parait d’un air effaré. Le roi avait gagné. Pour cette fois. Cependant, la partie continuait, et peu à peu, les règles du jeu changeaient. Mais son souhait à lui demeurait le même : que le meilleur gagne.

/!\ Pour davantage comprendre l'organisation du forum autour de ce forum, il vous faut vous reporter à la description des groupes. On nous a demandé comment il était possible de s'intégrer à une telle intrigue si l'on ne faisait pas partie de la famille royale ; le topic indiqué vous donnera divers exemples de situations de personnages. nous espérons que cela pourra vous inspirer. Mais si cela ne suffit pas, pensez bien à aller regarder les postes vacants. Vous trouverez peut-être chaussure à votre pied.

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L'avenir. Tous nous envisageons notre avenir selon nos désirs, notre volonté ou même selon les désirs d'autrui. Nous y serons tous confronter un jour et qu'elles seront les surprises, un avenir plaisant ou déplaisant, une carrière opposée à nos rêves ou une carrières de rêve ? Tous, nous possédons un but précis, un idéal à atteindre. Certains se donnent les moyens d'y parvenir d'autres préfèrent laisser le destin choisir à leurs places. Mais au final qu'importe la manière dont autrui procède pour atteindre son but, seul votre avenir vous importe. Dans quelle catégorie vous situez-vous ? Obsédé par la richesse, l'amour, les études, les folies nocturnes ou bien ne faites vous que rêver ?

Séoul / Seoul (en hangeul : 서울) a été, pendant plus de 500 ans, la capitale du royaume de Choson et est, depuis la guerre de Corée, la capitale de la Corée du Sud. C'est aussi la plus grande ville de la péninsule coréenne. Le nom de la ville dérive de l'ancien coréen Seorabeol ou Seobeol, qui signifie « ville capitale ». La ville a été connue dans le passé sous plusieurs noms successifs : Wiryeseong (위례성 ; 慰禮城 ; Paekche), Hanyang (한양; 漢陽) et Hanseong (한성; 漢城; période Koryo et période Chosŏn). Elle est située sur le fleuve Han, au nord-ouest du pays. La zone démilitarisée (DMZ) est, quant à elle, à environ 45 kilomètres du centre-ville. Avec une population d'environ 10 000 000 habitants (Séoulites) et une aire urbaine de plus de 26 293 783 habitants en incluant Incheon, Séoul est la troisième mégapole la plus peuplée au monde après Tōkyō et Mexico, juste devant New York. Plus de trois millions de véhicules y sont comptabilisés, ce qui entraîne des embouteillages quotidiens au-delà de minuit.

« Les hommes doivent souffrir leur départ comme leur venue ici-bas ; le tout est d'être prêt. » « L'on m'a dit aussi que vous vous fardiez. Fort bien ! Dieu vous a donné un visage, et vous vous en fabriquez un autre. » « Rien n'est bon ni mauvais en soi, tout dépend de ce que l'on en pense. »

Cette ville abrite de nombreuses âmes égarées, tourmentées, vagabondes, errantes, liées, jumelles, croisées, mortes. Une population si diverses qu'il est quasi impossible de s'y retrouver. Certains ont choisis de faire le bien d'autre le mal, d'autres encore ne croit ni en l'un ni en l'autre. Une recherche constante d'un bonheur que nombreux pensent inexistant, une volonté quasi inexistante pour certains et un espoir irréaliste pour d'autres. L'avenir au creux de leurs mains, ils sont les seuls à choisir la vie qu'ils souhaitent mener, à dessiner leurs destins. Quel destin choisirez vous ? S'amuser, ne pas réfléchir ou se donner corps et âme dans un avenir que vous voulez être vôtre ? Serez-vous membre Boryokudan ( mafia coréenne ) ?

Bonjour & bienvenue sur it's all about story ! Tout d'abord, je te remercie d'être arrivé jusque là puisque c'est que tu portes un certain intérêt au forum, n'est-ce pas ? Afin de t'expliquer clairement en quoi consiste le forum IAAS, je te fais cette petite introduction, et si ça te convient, il te restera plus qu'à lire la partie règlement & contextes.

● IAAS est avant tout un forum avec des rps courts, qui s'apparentent plus à du rp msn ou facebook que réellement du rpg 'classique'. Néanmoins, même si nous bradons le nombre de mots ( entre 50 mots min. et 150 mots max. ) nous restons très vigilants quant à la qualité des rps. Si c'est court et que c'est en plus mal écrit, ce sera juste invivable, donc seuls les joueurs confirmés et bons narrateurs sont acceptés.

● C'est aussi un forum aux multiples contextes. Pour le moment, il y en a 3 de disponibles ( Let's Shine, Dead End & Liberty ). Libre à toi d'avoir un personnage différent dans chaque ou alors plusieurs dans le même ou bien de te tenir qu'à un seul et même personnage. Mais même si il y a plusieurs "histoires" elles n'ont AUCUN lien entre elles. Un personnage ne peut être joué que dans un seul contexte, et ne peut pas se balader de contexte en contexte. Voilà pourquoi sur IAAS, tu pourras retrouver plusieurs fois le même avatar, c'est que les différents personnages n'appartiennent pas au même contexte.

● Des events, de nouveaux contextes te seront proposés régulièrement afin que le forum reste vivant et nos membres motivés. Nous resterons à l'écoute de tes suggestions et de tes idées. Le but étant de faire évoluer l'histoire tous ensemble !

● L'idée de communauté est très importante sur le forum. On ne te demandera pas ton âge ou ton pseudo et d'ailleurs on ne veut rien savoir de ton passé ou de ta popularité. Le but étant de repartir " à zéro " et d'apprendre tous à se (re)découvrir sans le moindre apriori. Les " clans " sont à bannir, seule ta façon de jouer ton personnage et de te comporter sur le forum sera importante.

Etudiants 15 à 21 ans, vous étiez le coeur de cible de la loi Battle Royale, une loi souvent jugée cruelle opposant de nombreux "joueurs" dans une lutte pour la survie. Votre carte étudiante a été tiré au sort bien malgré vous et vous avez été sortit du lit au milieu de la nuit, entraîné de force en pleine mer puis largué sur les côtes d'une île abandonnée avec quelques vivres et une arme "aléatoire" comme ils ont dit. Vous devenez à présent une statistique relevant vos prouesses meurtrières. Serez-vous parmi les chasseurs ou plutôt la proie de l'un d'entre eux...?